Voici une impressionnante initiative d'élève, celle de Maxime-René Roy, un de mes élèves du groupe 202, que je publie aujourd'hui. Merci Maxime. Et merci à vous les autres, de vous impliquer socialement, en lisant, commentant, et surtout en signant le document évoqué dans l'article.
Je fais appel à vous tous pour une bonne raison, avez vous écouté les nouvelles dernièrement.... J'ai été scandalisé hier en écoutant les nouvelles de découvrir une jeune fille de 9 ans violée par 2 jeunes garçons de moins de 12 ans. Mais ma plus grande surprise fut, aucune pénalité, rien, allons nous accepter cela sans broncher..... Ma plus grande question que feront -il a 15, 16 ou même 18 ans, tuer gratuitement..... Combien de vie ils vont encore briser ???
Voyez par vous-mêmes: Extraits.
L'histoire de Léa, 9 ans, est résumée par deux toutes petites phrases: «Abus sexuel par deux garçons. De neuf et onze ans et demi», a écrit une travailleuse sociale dans le formulaire de réclamation d'indemnités.C'est arrivé le 19 août dernier, dans une petite ville de la couronne Nord de Montréal, une banlieue tranquille où des familles de classe moyenne se côtoient dans des bungalows neufs. L'agression sexuelle a duré plusieurs heures dans le sous-sol de la maison où habite l'un des garçons. La fillette en a conservé des lésions. Les jeunes agresseurs avaient utilisé un vibrateur.Pour la mère de Léa, Sylvie Lanctôt, un autre cauchemar a commencé ce jour-là : celui de l'impunité des agresseurs de sa fille. «Les policiers nous ont dit qu'ils étaient désolés, mais que la Direction de la protection de la jeunesse allait prendre le dossier.
Au criminel, il n'y a rien à faire. Il faut juste attendre qu'ils recommencent quand ils vont avoir 12 ans. Là, on va pouvoir les arrêter.»En attendant, les deux garçons sont libres comme l'air et vivent dans le même quartier que leur victime. Ils allaient à la même école primaire jusqu'à ce que la directrice obtienne le transfert des deux garçons, Éric, onze ans et demi, et Louis, 9 ans. «Le plus vieux, il est passé en vélo sous ma fenêtre et il a insulté mon autre fille», raconte Mme Lanctôt.
Pire, la jeune mère a appris que l'agresseur le plus âgé, Éric, s'était vanté auprès d'autres enfants d'avoir «violé une fille». Il s'agissait de toute évidence de Léa.Le 19 août dernier, Éric a invité la petite Léa à dîner chez lui. Louis les a suivis. Il n'y avait pas d'adulte chez Éric. Les enfants sont allés au sous-sol, Léa a accepté le verre de jus qu'on lui offrait. «Éric, lui, s'est pris un verre d'alcool, du fort, raconte Sylvie. À 11 ans.»Selon le témoignage de Léa, les deux garçons ont demandé à la fillette de se dévêtir; elle a refusé. Le pire est alors survenu. Une agression sexuelle.
«Ça n'a pas de sens. C'est révoltant», laisse tomber la mère en pleurant. Vers 17 h, Léa a finalement quitté le sous-sol d'Éric, effondrée. Elle a tout révélé à ses parents, qui ont appelé le 911. Les policiers ont conduit la petite famille au poste, où elle est restée jusqu'à 22 h 45. C'est là que Sylvie Lanctôt a appris qu'il n'y aurait pas de charges contre les deux garçons.Un des enquêteurs a tenu à exprimer son indignation aux parents. «J'en ai vu beaucoup dans ma carrière, a-t-il dit à la mère. Mais cette violence... C'est grave, je n'ai jamais vu ça.»Depuis cette agression, la fillette est devenue plus fébrile, plus gourmande aussi. Elle fait des cauchemars. Elle a un dégoût insurmontable pour tout ce qui touche à la sexualité. Sa rencontre avec une travailleuse sociale le 24 septembre dernier a été un «traumatisme complet», selon la mère : la fillette ne voulait plus rien dire.
Quant à la mère, elle ne digère toujours pas ce qu'elle perçoit comme une absence de justice. À part le transfert des garçons dans une autre école, Sylvie ne voit pas les conséquences de leurs actes. Surtout pour Éric, qu'elle perçoit comme le plus endurci des deux. «Je pensais au moins qu'ils allaient l'enlever du milieu, qu'il y aurait eu une conséquence. S'ils ne font rien, cet enfant-là va violer plein d'autres filles!»
Si nous restons sans VOIX ce sera bien pire encore, donnons nous la main pour faire quelque chose, faites une chaine avec moi pour faire la différence, envoyer ce message a tous les gens que vous connaissez, SVP NE SUPPRIMER PAS CE MESSAGE. Vous n'avez qu'a transférer ce message et d'y ajouter votre nom. Ensemble nous pouvons faire la différence pour cette petite fille et pour bien d'autres. J'aimerais que toute les 100 premières personnes me renvoient ce message pour que je puisse suivre sa progression, je voudrais atteindre milles noms ou plus si vous m'aider...
menardisabelle@hotmail.com.
Ce message peut faire le tour du monde si on y met tous un peu de soi...Merci !