samedi 31 janvier 2009

C'était juste une joke !



L'ambition de Philippe Duquette-Labelle à vouloir créer une polémique et faire gonfler l'auditoire d'un groupe sur le réseau Facebook lui aura valu des accusations criminelles et une nuit en prison.
Et le processus judiciaire ne fait que commencer.
«J'ai fait le con», a-t-il admis à sa sortie du tribunal, hier. «C'était juste une joke.»
Il affirme d'ailleurs n'avoir aucune raison d'en vouloir à la police de Laval.
Accusé d'avoir menacé de faire exploser des voitures et un poste de police sur Facebook, le jeune homme a pu reprendre sa liberté en s'engageant devant le juge Jean R. Beaulieu à ne plus toucher ni à un ordinateur, ni à l'Internet.
Il devra de plus se tenir à distance des postes de police et des voitures de patrouille.
Le jeune homme de Laval a été arrêté jeudi après qu'un appel anonyme eut informé la police des menaces qui avaient été proférées.
Des accusations de menaces, d'avoir provoqué la peur en vue de nuire à l'administration de la justice et de crime haineux ont été portées contre lui.
Selon la police, les menaces voulaient que si 500 internautes joignaient le groupe, il ferait «sauter» une voiture de police.
Si le nombre s'élevait à 1 000 membres, c'est un poste de police qui exploserait.
Philippe Duquette-Labelle reviendra devant le tribunal le 19 mars


Marc PigeonLe Journal de Montréal

31/01/2009

Les ados auteurs de 90% des avances sexuelles sur Internet

Crédits photo : Le Figaro

Selon une étude américaine, confirmée par des associations spécialisées, le phénomène est devenu une véritable mode chez les jeunes.

Les dangers d'Internet pour les enfants ne sont pas ceux que l'on croit. C'est en tout cas le constat d'une étude américaine réalisée par l'Internet Safety Technological Task Force, un groupe formé de représentants de Google, Microsoft, Yahoo!, Facebook ou encore My-Space, et rendue publique la semaine dernière. Selon un chiffre désormais largement diffusé, un mineur sur cinq a été confronté à des avances sexuelles sur Internet. Donné sans plus de précision, ce chiffre laisse à penser que ces avances sont le fait d'adultes. A contrario, le rapport de l'Internet Safety Technological Task Force souligne que «90 % de ces propositions sont effectuées par d'autres jeunes du même âge ou des jeunes adultes de 18 à 21 ans ». En outre, beaucoup de ces propositions tiendraient plus de la plaisanterie ou du harcèlement que de la véritable invitation à un passage à l'acte.


Une tendance confirmée par Action Innocence, association française de lutte contre la pédophilie et les abus sexuels sur Internet, qui fait régulièrement l'expérience de se mettre en ligne avec un pseudo sur un forum prisé par les adolescents. Le mois dernier encore, une connexion sous le surnom de «lolita13ans» - légèrement provocant mais assez commun - a permis de mettre au jour les invitations licencieuses qui circulent sur ces espaces de discussions. «Dans les deux minutes qui ont suivi notre arrivée sur le forum, sans même avoir pris la parole ou «allumé» les autres internautes, nous avons reçu des propos salaces et des invitations à des actes voyeuristes comme “Déshabille-toi“ ou “Tu veux voir ma… ?”», raconte Véronique Fima. Selon la directrice d'Action Innocence, ces injonctions n'émanent pas de prédateurs pédophiles. «Ces derniers ne parlent pas de manière aussi directe, explique-t-elle. Ils se montrent plus subtils pour arriver à manipuler les mineurs. Leur but est de les amener à pratiquer un acte sexuel, pas de communiquer en ligne.»


«Cam to cam»
Entre jeunes, très rapidement, la webcam devient l'enjeu de la prise de contact. Cette caméra, qui permet de se voir tout en échangeant sur la Toile, est en effet l'outil privilégié des invitations lubriques. Notamment le «cam to cam», soit une discussion où chacun a branché sa caméra, et où les interlocuteurs peuvent se déshabiller ou s'aguicher. Le risque ? Que ces images soient enregistrées, diffusées à d'autres ou deviennent l'objet d'un chantage. «Sans compter que, en donnant une simple autorisation pour recevoir les images d'un internaute, on peut tomber sur un adolescent en train de se masturber», indique Véronique Fima. Les gendarmes de la division de lutte contre la cybercriminalité, qui surveillent la Toile, ont eux aussi noté une montée en puissance de ces sollicitations entre mineurs. Mais restent concentrés sur la recherche de pédophiles. «Les sanctions prévues par le Code pénal s'appliquent aux majeurs et aux mineurs. Mais quand il s'agit de mineurs entre eux, il peut être plus difficile d'établir où commence l'incitation et l'intimidation», souligne Delphine Schlumberger, avocate spécialisée en droit des mineurs. Si un majeur est en cause, il pourra a contrario être immédiatement incriminé .

mardi 27 janvier 2009

La beauté avant tout


Un de mes petits plaisirs quand il fait aussi froid c'est de regarder par ma fenêtre les adolescents de l'école d'à côté qui passent devant chez moi. Plusieurs ne portent qu'un kangourou et une casquette pour se protéger du froid. Surtout pas de mitaines et encore moins de tuques. À la limite, ils vont tolérer les écouteurs d'un iPod pour garder les oreilles au chaud. Ils sont complètement frigorifiés et ça parait. Ils marchent sur le trottoir, les mains calées dans les poches, la tête rentrée dans le cou et les bras soudés sur les côtés du corps.
Ce n'est pas sans me rappeler ma propre adolescence. J'étais aussi con et gelé qu'eux avec la même assurance d'être tout à fait correct comme ça.


lundi 19 janvier 2009

Adolescente et..enceinte

Image tiré du film Juno ( 2006)



Grossesse à l'adolescence: le choix d'une vie
Laurie Richard







Le Soleil


«Un avortement, est-ce que ça fait mal?» Les adolescentes qui appellent Grossesse-Secours y vont souvent par moyens détournés. Poursuivre leur grossesse ou l'interrompre? Elles ne savent pas comment aborder le sujet. Même si leur décision est déjà prise...



«Les adolescentes n'ont pas une ambivalence qui dure très longtemps», dit Julie Savard, coordonnatrice à Grossesse-Secours, un centre montréalais qui offre un service d'aide téléphonique pour femmes enceintes et en difficulté. Elles vont souvent chercher de l'aide après avoir pris leur décision. Et il est très délicat de faire changer une adolescente d'idée.


La coordonnatrice de Grossesse-Secours observe deux types de réactions chez les jeunes filles enceintes.


Il y a celles pour qui la grossesse est un événement comme un autre, auquel elles se sont résignées à passer au travers, et il y a celles qui sont bouleversées.


Lorsque France Paquin, infirmière au CLSC Haute-Ville à Québec, annonce à une ado venue consulter qu'elle est enceinte, c'est d'abord le choc. Elle lui laisse le temps de l'absorber. S'ensuit rapidement la culpabilité. «On essaie de supprimer le sentiment de culpabilité pour laisser place à la réflexion», indique Mme Paquin.



De 30 à 35 % de la clientèle de la ligne téléphonique Grossesse-Secours sont des jeunes filles de 14 à 17 ans. Mais ces ados enceintes partagent souvent les mêmes difficultés que les femmes de 20 à 24 ans, car elles ont accès aux mêmes revenus et programmes, constate Mme Savard.

Mme Paquin n'a pas observé d'augmentation du nombre de grossesses chez les ados qui ont consulté au CLSC Haute-Ville au cours des dernières années. Elle croit que la plus grande accessibilité de la pilule du lendemain, gratuite dans les CLSC, a pu atténuer le nombre de cas.
En effet, selon le ministère de la Santé et des Services sociaux, de 1992 à 1998, le taux de grossesse chez les jeunes filles âgées de 14 à 17 ans est resté stable au Québec, soit entre 19 et 20 pour mille adolescentes, avant de diminuer pendant les cinq années suivantes pour s'établir à 16,6 pour mille, en 2003.



Quelle option choisissent ces jeunes filles? Les stéréotypes sont un peu vrais, se désole Mme Savard : «C'est plate à dire, mais si on tranche ça, ce sont celles qui proviennent d'un milieu favorisé qui vont interrompre leur grossesse.»
«Il ne faut pas se compter des histoires. Les jeunes qui poursuivent leurs grossesses n'ont pas leur secondaire, à 90 %. C'est flagrant, le bébé arrive au bon moment pour donner un sens à leur vie», continue Julie Savard. Tout un mandat pour ce petit être! Et huit jeunes filles enceintes sur dix rencontrées par Grossesse-Secours ont déjà eu une expérience en Centre jeunesse. «Il y a un manque au niveau relationnel», indique la coordonnatrice.



Le choix entre l'avortement et la poursuite de la grossesse semble aussi plus déchirant lorsque la jeune fille a autour de 20 ans, note Mme Paquin. Dr Louise Charbonneau, médecin à la Clinique des jeunes Saint-Denis de Montréal, soulève d'ailleurs, qu'en bas de 18 ans, plus de 80 % des jeunes filles vont opter pour l'avortement, au Québec.

Dans la ville multiculturelle de Montréal, certaines communautés, notamment sud-américaines et antillaises, valorisent grandement la fécondité. «Si la jeune fille est féconde, elle va devenir enceinte, ce qui montre à tout le monde qu'elle n'est pas stérile, qu'elle peut avoir des enfants. Elles (ces communautés culturelles) ont beaucoup de difficultés avec la contraception», explique le Dr Charbonneau.




D'autres jeunes filles enceintes viennent aussi à se trouvent «belles et cools», indique Mme Savard, surtout quand d'autres amies sont dans la même situation. Mais les jeunes mamans voudraient aussi rester comme des ados normales, magasiner, se «poupouner »... avec un bébé. De leur côté, les pères ont habituellement une bonne réaction lorsqu'ils apprennent la grossesse, au dire de Mme Savard, mais ne restent pas dans le décor bien longtemps.



Malgré la mise en garde quant à tous les changements que la grossesse va engendrer, les ados ont une vision à court terme. Ce qui fait que lorsque bébé arrive, elles ne sont pas organisées.
Les ados ne sont pas assez informés, tranche Mme Savard qui accuse la quasi-disparition des cours de formation personnelle dans les écoles. L'éducation sexuelle à la maison laisse gravement à désirer, d'après elle, et «les vidéoclips, ce n'est pas vraiment une bonne école»!


Le petit guide Grossesse non désirée, que faire?, conçu par le professeur de psychologie Robert Darlington, a été pensé afin d'aider les femmes dans le doute à faire un choix qu'elles pourront assumer quant à l'issue de leur grossesse. Garder le bébé ou subir un avortement? Le petit ouvrage a émergé des rencontres du professeur avec ses étudiantes du Collège Saint-Jérôme qui, tombées enceintes, sont venues se confier à lui. Il se sentait alors aussi démuni que les jeunes concernées. Constitué de courts tests, le guide aborde les différents aspects de la situation (affectif, économique, médical, moral social) afin d'aider les femmes de tous âges dans leur réflexion. Un ouvrage pour lequel M. Darlington a reçu de nombreux remerciements d'utilisatrices.

samedi 17 janvier 2009

La beauté comme notion

Le beau ou la beauté est une notion abstraite liée à de nombreux aspects de l'existence humaine.

Le beau est la caractéristique d'une chose qui passe d’abord à travers une expérience sensorielle avant de le faire par l’émotion
La beauté est parfois injuste. Elle crée des inégalités entre individus .
Il semblerait apparaît que les traits « symétriques » sont plus attirants que d’autres.

Citons la beauté, elle-même

C’est quoi la beauté exactement ?Infiniment de choses ?
Extrait de forums dans internet
La beauté passe par les soins d'un corps sainqui respire la bonne forme.
C'est ce qui arrête la pulsation du coeur pendant un instant....
Et il n'y a rien de plus subjectif que la beauté... On peut être beau pour une personne, invisible pour une autre... c’est là qu'est toute la magie....
C'est ce qui dégage du charme.Ce qui nous attire vers l'objet ou l'être aimé
C'est un tout, l'addition de touts les atouts et de tous les défauts a condition de savoir s'y prendre. La beauté, c'est quand on ne peut plus s'empêcher de regarder, d'écouter, de sentir.

Les critères de beauté

Les canons de beauté de Diane de Poitiers(1499-1566)
Toute la cour du roi de France était d’accord pour la trouver adorablement belle, ont copiait sa démarche ,ses gestes ,sa coiffure. Elle servit d’ailleurs à établir les canons de beauté , dont toutes les femmes pendant cent ans, cherchèrent furieusement à se rapprocher :

Si les mannequins des vitrines de magasins étaient de vraies femmes, leurs hanches seraient trop étroites pour avoir des enfants !
Il existe 3 milliards de femmes dans le monde qui ne ressemblent pas aux supers top modèles et seulement 8 qui sont des super top modèles !
Si la poupée Barbie était une vraie femme, elle ne pourrait que marcher à quatre pattes car, avec ses proportions, elle ne pourrait pas se tenir droite ni debout !

Les mouvements féministes américains, dans les années 70 avaient demandé à ce que soit inscrite sur chaque emballage Barbie la mention : Précaution d'emploi : la plupart des femmes ne deviennent pas comme Barbie. Tout manquement dans le relais de cette information auprès des petites filles peut provoquer de graves troubles

Les 10 commandements d'une parfaite anorexique !

Les 10 commandements d'une parfaite anorexique d'après les sites pro-ana.
1. Si tu n'es pas mince, tu n'es pas attirante.
2. Etre mince est plus important qu'être en bonne santé.
3. Tu dois t'acheter des vêtements étroits, couper tes cheveux, prendre des pillules diurétiques, jeûner,... Faire n'importe quoi qui puisse te rendre plus mince.
4. Tu ne mangeras point sans te sentir coupable.

o5. Tu ne mangeras point de nourriture calorique sans te punir après coup.
6. Tu compteras les calories après chaque ingestion alimentaire.
7. Ce que dit la balance est le plus important.
8. Perdre du poids est bien, mais en gagner est mauvais.
9. Tu ne peux jamais être trop mince.
10. Etre mince et ne pas manger sont les signes d'une volonté véritable et de succès.

mardi 13 janvier 2009

Ne vous inquiétez pas

Je voudrais prévenir tous les élèves qui ne sont pas encore inscrit dans les horaires de présentations pour le projet : la parole aux chansons.
Ces horaires sont imcomplètes.
Je devrais les achever dans les prochains jours.
Merci.
Bonne journée

Éthicien

lundi 12 janvier 2009

Mama I Want to live

Voici le lien pour un beau clip anti-avortement.
Le narrateur est l'enfant à naître que l'on veut tuer et qui s'exclame :
Non, je veux vivre

http://ma-tvideo.france2.fr/video/iLyROoafY0Od.html

Je vous offre cette vidéo

POUR VOUS SOUHAITER UNE BONNE ANNÉE
JE VOUS PROPOSE CE LIEN

POUR CERTAINS LE VIDÉO EST CONNU PUISQUE JE L'AI DIFFUSÉ EN CLASSE

BONNE JOURNÉE

M. LAVOIE
SOYEZ ÉTHIQUE EN TOUTE CHOSE !

http://video.google.com/videoplay?docid=6815344520358860068&ei=kfNgSY29MZ-G_AGf9om7Cg&q=bonne+ann%C3%A9e+&hl=fr

dimanche 4 janvier 2009

projet chanson : les directives

ÉTHIQUE ET CULTE RELIGIEUSE
ÉCOLE ANDRÉ LAURENDEAU
PROJET CHANSON : la parole aux chansons

Directives
Pour le travail écrit
1. Faire une page titre selon la méthode proposée dans l’agenda. Y inclure le titre du travail ainsi que le titre de la chanson, le nom du ou des interprète(s) et finalement entre parenthèses, l’année de sortie de la chanson.
2. Mettre une image de l’interprète sur la page titre
3. Page 2 : Mon introduction
Cette page doit inclure les informations suivantes
- Quand ai-je connu cette chanson ?
( Dans quelles circonstances, précise )
- Pourquoi est-ce que l’aime ? ( précise en trois quatre raisons )
- Pourquoi, penses-tu quelle convienne pour ce travail ? Précise en deux raisons détaillées.
4. Page 3 : Historique de la chanson
- Origine nationale de la chanson
- Style de la chanson.
- nom(s) de ou des interprètes ( s’il s’agit d’un groupe, y inclure le nom de tous )
- nom de ou des auteurs , paroles et musique, de la chanson
- Faire un bref résumé de la carrière de ou des interprètes. Y inclure les albums principaux, les grands succès, les honneurs, etc..
- Dire sur quel album (cd) cette chanson est sortie, et en quelle année.
- Y inclure une image de l’album
5. Pages 4 à 8 ( si nécessaire ) : Les paroles
- Peu importe la langue : copier-coller, les paroles originales, sans oublier d'en citer ls source
- Si les paroles sont dans une autre langue que le français ou l’anglais, proposer une traduction ou un résumé détaillé en français.
- Si les paroles sont en anglais, proposer une traduction la plus littérale possible.
- Faire un copie du texte traduit
- A travers le texte traduit, y inclure 5-6 images afin d’illustrer le sens de mots.
- Une interprétation du sens de chacun des paragraphes. Court mais précis.
6. Pages ( où tu es rendu ) Conclusion
- Dire ce que tu as appris sur la chanson suite à ta réflexion
- Dire en quoi cette chanson peut apporter un message positif
- Quel est ton extrait préféré, le citer, et expliquer.

A ne pas oublier
- Paginer toutes les pages
- Citer toutes les sources extérieures
- Sois personnel et approfondi
- Bonne chance, tu es capable. Impressionnez-moi !


P.s : Toutes les images, informations ou texte, qui ne sont pas de toi doivent être cités. Merci.

Pour l’exposé oral et l’audition en classe
1. Prévoir un des supports suivants pour l’audition
- un cd
- une clef usb
- un fichier audio mp3 sur le portail ou dans un message email
- you tube ou autre moyen internet
2. Prévoir diffusé les paroles originales ( anglais ou français )
- Vidéo You tube avec les paroles qui défilent, si tu utilises ce support.
- Utiliser les paroles que tu as retranscrites, les mettre sur clé usb , sur le portail, etc..
- Au pire, prévoir des photocopies pour tout le monde. Je les ferai pour vous.
3. L’audition en tant que telle :
- Se présenter clairement
- Nommer le titre de la chanson, son interprète ou ses interprètes
- Préciser son année de sortie, sur quel album
- Faire un bref historique de ou des interprètes
- Parler de la carrière de la chanson ( prix, vidéo, autres versions, autres utilisations ( dans un film par exemple )
- Expliquer le pourquoi tu as choisi cette chanson :
Sur le plan personnel. Donner deux –trois raisons détaillées.
- Résumer le thème, les sous-thèmes, ainsi que le récit de la chanson
- Procéder à l’audition
- Faire une brève analyse des paroles en utilisant un support visuel ( paroles papier ou projetées )
- Dire en quoi les paroles sont positives et qu’elles ne peuvent apporter que du bien à notre monde
- Poser une ou deux questions à l’assemblée
Ne pas oublier
- D’apporter tous les supports nécessaires ( paroles, chanson, etc..)
- Si tu veux en faire plus, vas-y, tu seras noter en conséquence
- Arriver quelques minutes avant le deuxième cloche, lors de ta présentation.

samedi 3 janvier 2009

Des bracelets GPS contre le décrochage

Publiésur cyberpresse le 03 septembre 2008 à 00h00

Quelle désolation. Somme-nous vraiment rendu là ? À presque séquestrer nos jeunes pour les faire étudier. Mais c'est d'un ridicule. Je suis sorti enragé noir de la lecture de cette article.


Les adolescents qui «participeront» au projet pilote de six mois auront de 15 à 17 ans. S'ils dépassent les limites de l'école pendant la journée, ou un périmètre convenu autour de leur résidence le soir et la nuit, une alarme avertira un surveillant au bureau du procureur.
«Un autre comté de l'État fait cela depuis quatre ou cinq ans, et ça a réduit de 95% le décrochage chez la clientèle visée, dit la juge Linda Penn, qui a mis sur pied le projet du comté de Bexar. Je pense que la simple peur du bracelet GPS fera le travail.»
Le problème du décrochage, selon la juge Penn, est qu'il facilite l'entrée des jeunes dans les gangs de rue. «Sans décrochage, vous avez beaucoup moins de nouveaux jeunes criminels, assure-t-elle au cours d'un entretien téléphonique. C'est un problème important dans notre comté, qui compte 1,2 million d'habitants.» Elle pense que la mesure ne fera pas l'objet de contestation judiciaire. L'ACLU, une ONG militant pour les droits civiques, a indiqué à l'Associated Press son inquiétude devant le programme, mais n'a pas annoncé de poursuite.
Le coût du projet pilote, 100 000$US, devrait être assumé par les écoles du comté, espère la juge Penn. Entre 50 et 75 élèves devraient y être conscrits, mais la juge Penn assure que le surveillant pourra se charger d'une centaine d'élèves si besoin est.
Une approche impensable au Québec
À l'Université de Montréal, la professeure de droit Violaine Lemay, spécialiste du droit de la jeunesse, estime que cette approche serait impensable au Québec, tant au niveau de la philosophie de la Direction de la protection de la jeunesse, que de la loi proprement dite. «Plus on renforce le caractère carcéral de l'école, plus on renforce la volonté de s'en évader, dit Me Lemay. Au Québec, un directeur d'école qui constate des absences répétées doit tout d'abord contacter les parents, puis ensuite seulement la DPJ, qui doit prouver que l'absence de fréquentation scolaire compromet la sécurité de l'enfant. La liberté des personnes est très protégée au Canada. Les jeunes ont aussi droit à l'égalité. Si l'employeur d'un adulte le soupçonne de ne pas travailler assez, il n'a pas le droit de le surveiller avec un bracelet GPS. C'est la même chose pour les jeunes et l'école.»

Vision marquée par l'ignorance
Au-delà des considérations juridiques, Me Lemay est «triste» de voir cette histoire. «C'est une vision naïve du monde, profondément marquée par l'ignorance. On se dit que s'il y a moins de liberté, les jeunes vont avoir moins le goût de la liberté et plus le goût de l'école. Au contraire. Il y a une grande méconnaissance des travaux scientifiques sur le problème du décrochage scolaire. Ce qu'il faut, c'est intervenir durant l'enfance, intervenir auprès des mères de familles monoparentales: au lieu d'un bébé secoué, d'un enfant qui apprend la violence, la mère peut lâcher son stress.»
Mais s'il n'y a pas eu d'intervention durant l'enfance, que faire avec un adolescent décrocheur? «L'école n'est pas nécessairement faite pour tout le monde, dit Me Lemay. Avant, seulement les élites y avaient accès, maintenant tout le monde doit y aller. Les jeunes hyperactifs qui auparavant excellaient dans les champs se retrouvent enfermés dans une classe. Ça me fait penser à La fortune de Gaspard, de la comtesse de Ségur: un paysan décidait que ses deux fils le deviendraient aussi, ce qui rend très malheureux le fils qui aimait l'école; puis il se revire de bord, et décide qu'ils iront tous deux à l'école, ce qui rend malheureux le fils qui aimait les champs.»
Une autre école texane, à Harrold dans le nord rural de l'État, a flirté cet été avec la controverse. La commission scolaire a décidé d'autoriser les enseignants à porter des armes cachées sur eux durant les cours, dans le but d'éviter des tragédies comme la fusillade de Columbine au Colorado en 1999. «Nos parents ne veulent pas que leurs enfants soient des poissons dans un bocal», a expliqué le directeur de la commission scolaire, David Thweatt, au New York Times. «Ils ne se font pas d'illusion: la police ne pourrait pas intervenir assez rapidement en cas de fusillade.» M. Thweatt a ajouté qu'interdire les armes à feu dans les écoles les rend plus invitantes pour les mécréants.

guérir les "drogués" d'internet





Les genoux de Chen Cheng tremblent de manière apparemment incontrôlée: à 17 ans, comme 2,5 millions de Chinois, il est "drogué" à l'internet, ce qui a poussé ses parents à le placer dans une clinique spécialisée de Pékin.
Dans cette banlieue de la capitale chinoise, une vingtaine d'adolescents sont enfermés dans un centre de traitement de la dépendance à l'internet géré par l'armée. Chen Cheng pouvait passer trois jours sans dormir ni manger pour assouvir sa passion des jeux en ligne, où il se rêvait Superman.
"Je ne tirais aucune satisfaction de ce que je faisais dans la vie réelle", explique ce jeune à lunettes.



Le centre, situé dans le quartier militaire de Daxing, a ouvert ses portes fin 2004, le premier du genre en Chine. Il a reçu plus de 1.500 patients âgés de 14 à 36 ans et revendique un taux de succès de 70%.
La plupart viennent de familles aisées, car le coût du traitement est assez élevé: près de 10.000 yuans (1.300 dollars) par mois, soit près d'un an de salaire pour la plupart des Chinois.
"Certains de ses enfants vivent dans un autre monde. Ils assument des rôles de rois ou de magiciens. Pour utiliser une expression occidentale, leur âme est passée de l'autre côté", dit Tao Ran, fondateur et directeur du centre.



L'une des méthodes de la clinique est de les pousser à une rencontre directe avec le monde réel: ils doivent laver leurs linges, jouer avec de vrais jouets et peindre avec des pinceaux réels.
Levés à 06H30, ils alternent des séances de sport et de thérapies. Les dix premiers jours sont assez stricts avec interdiction de sortir.
"Certains des patients deviennent fous quand ils réalisent qu'ils ne peuvent pas sortir", dit Guan Peihong, un lycéen de 17 ans originaire du Heilongjiang, dans le nord-est de la Chine. "Ils hurlent et crient qu'ils veulent sortir", témoigne-t-il.



Au bout de dix jours, la surveillance se relâche. Certains en profitent pour s'enfuir, mais une fois rattrapés, ils sont placés dans une pièce avec seulement un lit et un bureau.
"Nous leur donnons un livre où ils doivent coucher leurs pensées. Pourquoi se sont-ils enfuis? Que veulent-ils faire de leure vies? Cela prend deux ou trois jours, ce n'est pas la même chose que de les enfermer", affirme M. Tao.
"Ces enfants n'ont cessé de jouer toute la journée, ils n'ont jamais eu l'occasion de penser à leur avenir", note-t-il.



Une pièce à l'intérieur d'un bâtiment triste est réservée aux cas les plus sérieux, avec, au programme, des électrochocs de faible voltage à travers des aiguilles placées sur le corps, selon la technique de l'acupuncture.
"Tout le monde ne doit pas passer par là, mais nous le proposons pour les patients qui ont de gros problèmes de sommeil", explique Wang Yanbin, le médecin qui contrôle l'administration des électrochocs.
Pour M. Tao, il existe 2,5 millions de dépendants à l'internet en Chine, essentiellement des jeunes garçons attirés par les jeux en ligne, un phénomène qui inquiète les autorités.



"La violence et le sexe dans ces jeux ont une influence profonde sur eux. Et cet impact se produit durant leurs années de formation de leur personnalité", dit-il.
Une trentaine de cliniques pour soigner les problèmes de dépendance à l'internet existent désormais en Chine, où le gouvernement a interdit toute ouverture supplémentaire de cybercafés en 2007 pour lutter contre le phénomène.



Selon une étude récente citée par l'agence officielle Chine Nouvelle, 33,5% de la délinquance juvénile dans la région de Pékin est liée au temps excessif passé à jouer en ligne.




Un cocktail cannabis analgégique tue un adolescent et en laisse un autre handicapé


Un cocktail cannabis analgégique tue un adolescent et en laisse un autre handicapé



Deux adolescents de 14 ans de la région de la ville de Québec (Canada) ont payé très cher leur insouciance, dans le temps des fêtes, l'un de sa vie et l'autre de sa santé, puisqu'il conservera à tout jamais des séquelles de cette terrible expérience.
À la veille du jour de l'an quatre jeunes ont consommé du cannabis qu'ils ont combiné avec un puissant analgésique, le Duragesic (fentanyl) dont les effets seraient plus puissants que la morphine. Ce médicament se trouvait dans la résidence familiale de l'un des quatre jeunes. Les parents étant absents, ils profitèrent de l'occasion pour organiser une petite fête...
Les conséquences de ce dangereux mélange furent mortel pour l'un d'eux qui décéda quelques jours plus tard, un autre est encore hospitalisé et souffrira de séquelles permanentes, notamment d'une faiblesse musculaire généralisée et de troubles du foie.La fentanyl est un opiacé synthétique très puissant. S'il est relativement populaire en Europe. ici ni la GRC ou la Sûreté du Québec n'ont entendu parler de son usage comme drogue récréative et/ou prisée par les trafiquants et les toxicomanes.
Les policiers avec l'accord des parents, ont décidé de rendre publique cette tragédie, afin de rappeler aux jeunes de faire très attention aux drogues qu'ils peuvent consommer, entre autres, les médicaments d'ordonnance qu'ils peuvent trouver.
ALAIN DUBOIS

Source : Le site portail des toxicomanies- janvier 2005: TOXICO INFO