vendredi 31 octobre 2008

Il fugue pour une histoire de Xbox



Lorsque ses parents lui ont confisqué sa Xbox, Brandon Crisp a promis qu'il fuguerait si on ne la lui rendait pas. Son père, croyant qu'il bluffait, l'a même aidé à faire son sac à dos.


Puis, le jeune Ontarien est parti à vélo. C'était il y a 13 jours. Le garçon de 15 ans, passionné de jeux vidéo, n'a pas été revu depuis.

Aux yeux de ses parents, cela ne fait aucun doute: il était «obsédé» et «complètement dépendant» du jeu Call of Duty 4: Modern Warfare, destiné aux plus de 17 ans. «Il obtenait des A" dans toutes les matières avant de sombrer dans l'enfer des jeux vidéo en 2006», affirme son père. Le jour où on lui a confisqué sa Xbox, Brandon a volé 20$ à sa soeur, et ses parents venaient d'apprendre qu'il s'était absenté de l'école pour jouer.

Les Crisp craignent que leur fils soit allé rejoindre un inconnu rencontré sur l'internet. «Ce pourrait être le crime organisé, ou autre chose. Les pédophiles peuvent traquer les jeunes avec ces jeux», a avancé plus tôt cette semaine Steve Crisp au Toronto Star.



«Les amateurs de jeux vidéo peuvent s'attacher très fortement au monde virtuel parce qu'ils y vivent des expériences émotives intenses», explique le directeur du Laboratoire d'analyse des médias de l'Université Simon Fraser, Stephen Kline. «Tu fais partie d'une équipe. Mieux tu joues, plus tu es reconnu. Ce peut être très stimulant pour un adolescent.» Le problème, c'est que, afin d'obtenir de meilleurs résultats, nombre de participants délaissent peu à peu les autres activités - faire ses devoirs, voir ses amis, dormir, aller à l'école.

Microsoft, fabricant de la Xbox, a doublé la récompense de 25 000$ pour toute information qui permettra de retrouver le garçon. Mais le géant mondial de l'informatique tarde à partager les données des personnes avec lesquelles Brandon jouait, souligne la police.
Source : La Presse Canadienne

mardi 28 octobre 2008

Les enfants taupes de Colombie


Ils ont à peine dix ans et travaillent dans les mines de charbon en Colombie à quatre cents mètres de fond. Seuls de petits gabarits peuvent passer dans les trous de la mine.
Ils sont mal nourris et mâchent des feuilles de coca (Ces feuilles sont mâchées jusqu’à l’obtention d’une boulette qui produit des effets stimulants) pour résister ä la fatigue. Ils sont très mal payés. Ils sont là pour travailler dans les mines d‘étain. les mines de sel, mines d‘or parfois avec des climats très difficiles et des conditions de sécurités inexistantes. Ils travaillent plus de huit heures de par jour, du lundi au samedi pour environ 10 € la semaine.
Une loi colombienne du ministère des mines en vigueur dès 1989, interdit le travail des femmes et des enfants. Mais l’absence de contrôle fait que la loi est contournée et les compagnies minières profitent de la situation en achetant du charbon à bas prix aux propriétaires des mines qui payent très mal une main-d’oeuvre aux abois.

Uglies


Je dédie cet article, à trois élèves formidables, des filles avec un coeur et une tête, du groupe 501, avec qui j'ai eu la chance d'échanger, à la fin d'un cours, aujourd'hui. Elles m'ont fait réfléchir. Les gars de la classe aussi, à leur façon, pour qui -la majorité- ont dit préférer les filles maquillées.
Dans le monde de l’extrême beauté, les gens normaux sont en danger. L'auteur de science fiction, Scott Westerfeld , dans son oeuvre en quatre tomes : Uglies, Pretties,Specials et Extras nous projette dans un monde dans lequel une opération esthétique forcée à seize ans élimine les différences physiques et rend chacun conforme à un idéal de beauté.


Uglies, nous introduit dans un monde où des enfants sont élevés par l’État et soumis à la chirurgie esthétique obligatoire à seize ans. Il sont « perfectionnés » et rendus physiquement « parfaits » pour appartenir à une sorte d’uniformité. La beauté et son importance dans la société, c’est sur ce thème que repose l’histoire. Le sujet sous-entend que la beauté et la mise en conformité des êtres entraînent une uniformisation des comportements et de l’obéissance. Uglies est une réflexion sur le sens de la beauté physique et, plus largement, sur le devoir de résistance. On y trouve une grande critique de la société actuelle, une critique également du culte de la beauté et de l’actuelle dictature de la beauté et de la minceur.



Selon l'auteur, avec l’explosion des nouvelles technologies, nous nous dirigeons certainement vers un monde dans lequel bon nombre de gens décideront à quoi ils ressemblent. "J’ai voulu montrer une société où c’est la différence qui rend beau. "

Être beau, qu’est-ce que ça signifie pour vous ?

"Il y a la beauté que nous sommes programmés à admirer : tout ce qui est symétrie, une peau sans marques ni traces, un visage avec des grands yeux expressifs et puis il y un autre genre de beauté, moins lisse, celle des gens qui ont vécu et qui portent sur leurs visages les marques de leur histoire. "
"Un ado qui s’engagerait dans une démarche de chirurgie esthétique…Je lui déconseillerais. Ce n’est ni mal ni un signe d’impuissance, mais c’est le fait que c’est définitif et dangereux. Si on se fait refaire le nez pour avoir le nez de tout le monde, pourquoi pas, mais après c’est trop tard, il n’y a plus de retour en arrière possible. Vous devez rester avec le nez de tout le monde à vie ! "




"13-14 ans, c’est un âge où l’on veut vraiment ressembler à tout le monde, être comme les autres, surtout ne pas se démarquer ! À cet âge de la vulnérabilité, c’est parfaitement acceptable s’il s’agit alors d’une coupe de cheveux, de vêtements… mais évidemment il faut mieux leur conseiller d’éviter les opérations irréversibles ! "



Pensez-vous que les adolescents soient vraiment préoccupés par ce phénomène de « beauté normalisée ? "Oh oui ! Ce phénomène est présent partout : les images arrangées ou retouchées par ordinateur dans les magazines, dans les films, sur les affiches. Les ados voient beaucoup plus souvent des photos, des visages retouchés et faux que de vrais visages. Cette normalisation fait partie de leur environnement quotidien, mais il faut noter toutefois que ce phénomène est très ancien, depuis toujours l’art en parle. La plupart des cultures sont hantées par la beauté. Tout au long de l’histoire, nous sommes ornés de bijoux, tatouages, bronzage, maquillages. "
"Nous sommes tous influencés par l’apparence physique, il ne s’agit pas de dire « c’est mal », mais il faut savoir que ça existe, que c’est notre mode de fonctionnement, de réaction, de communication. On peut donc s’interroger sur ce phénomène. "

L'entrevue avec Scott Westerfeld a été réalisée par Véronique Delarue, professeur documentaliste au Groupe scolaire Ste Marie-St Vincent, Paris 18e

L'obsession de la minceur !



Tous les articles portant sur la fascination du paraître et des apparences dans notre société m'ont été suggérés par Philippe, un élève du groupe 503. Merci, mon cher !
Les magazines féminins sont probablement parmi les meilleurs promoteurs d'une beauté qui repose sur la jeunesse et une minceur excessive. Leurs pages sont souvent remplies de photos retouchées et d'articles vantant la nouvelle diète en vogue ou la crème anti-rides miracle.

Plus des trois quarts de leurs pages couvertures ont au moins un titre sur la meilleure manière de changer son apparence, que ce soit par le biais d'un régime, d'un programme d'exercices ou de la chirurgie esthétique.
Ceci s'explique facilement par l'influence qu'ont les annonceurs - principalement des compagnies de cosmétiques - sur le contenu de ces magazines. Quand New Woman, un magazine australien, a mis en page couverture la photo d'un mannequin aux rondeurs évidentes, il a reçu un camion de lettres de lectrices reconnaissantes, mais la réaction très négative de ses annonceurs l'a vite découragé de poursuivre dans cette voie. Advertising Age International y a vu la « confirmation de l'influence des publicitaires, qui restent persuadés que seuls des mannequins minces favorisent la vente des produits de beauté ». En publicité, le règne de la minceur va d'ailleurs en s'accentuant : il y a 20 ans, la plupart des mannequins pesaient 8 % de moins que la femme moyenne. Aujourd'hui, on parle de 23 % de moins.


Bien sûr, les magazines et la publicité ne sont pas seuls à promouvoir un idéal de beauté inaccessible. Le cinéma et la télévision contribuent grandement à le diffuser. Les actrices de séries télévisées et de cinéma sont, généralement, de plus en plus minces et de plus en plus jeunes. Au Québec, les comédiennes qui tiennent un premier rôle dans une série ou un film sont aussi majoritairement minces et jeunes. Après 40 ans, les rôles intéressants se font rares selon plusieurs actrices.

Depuis quelques années, Coup de pouce présente régulièrement des femmes rondes dans ses pages de mode. D'autres magazines, comme Châtelaine, se sont récemment engagés à ne plus retoucher les photos qu'ils publient et à ne plus présenter de mannequins ayant moins de 25 ans. S'agit-il de tendances superficielles ou d'un courant fort qui transformera la façon dont les médias présentent les femmes ?

samedi 25 octobre 2008

Peut on devenir optimiste?



Pessimisme ou optimisme, qu'est-ce qui nous habite vraiment ?

Et comment passer du premier état au second ?

Les pessimistes sont souvent mécontents du moment présent et inquiets quant à l'avenir , persuadés que les choses ne peuvent aller que de plus en plus mal puisque, c'est bien connu, " un malheur en attire un autre ".

Les optimistes, au contraire, savent voir le beau côté des choses. " Ça pourrait être pire ! " semble être leur devise.

Il y a aussi ce proverbe chinois qui leur convient tout à fait : " Je me suis toujours plaint de n'avoir pas de souliers, jusqu'au jour où j'ai rencontré quelqu'un qui n'avait pas de pieds. "

Ces personnes optimistes, qui traversent la vie avec entrain, seraient également en meilleure santé physique que les autres. En effet, des recherches menées à l'université de Pittsburgh ont montré que les optimistes ont une pression sanguine plus basse que les pessimistes. De plus, ce sont les patients optimistes qui récupèrent le mieux à la suite d'une opération et qui reprennent le plus rapidement leurs activités professionnelles.


"Le corps et l'esprit sont intimement liés, rappelle le psychologue Magella Potvin, professeur à l'Université du Québec à Chicoutimi. Une étude menée par un groupe de chercheurs de la Clinique Mayo, au Minnesota, montre que les personnes optimistes sont en meilleure santé et vivent plus longtemps que les autres. Entre 1962 et 1965, ces chercheurs ont fait passer un test à près d'un millier de personnes afin de déterminer si elles étaient plutôt optimistes ou plutôt pessimistes. En comparant le taux de survie de ces personnes 30 ans après, on a constaté que les décès prématurés étaient de 19% plus élevés chez les pessimistes.


" L'un dit noir, l'autre dit blanc Comment se déroule la vie du pessimiste ? Il est continuellement sur le qui-vive, se demandant quelle autre tuile lui tombera bientôt sur la tête. Et comme il a du mal à faire confiance à la vie et aux autres, il se replie sur lui-même. Il a aussi tendance à se remettre en question au moindre échec.


L'optimiste, lui, accueille la vie à bras ouverts. Même quand il traverse une période difficile, il continue à croire en la vie, confiant que les malheurs sont temporaires et que le bonheur, lui, est durable. En route vers l'optimisme D'abord, il faut prendre conscience de ses pensées négatives si on veut pouvoir changer sa perception des choses et de la vie.


Autre conseil : regarder ce que l'on a plutôt que ce que l'on n'a pas. Pourquoi ne pas dresser une liste de vos qualités et des domaines dans lesquels vous excellez ? Notez aussi les qualités et les arts que les autres vous reconnaissent. Osez faire ces choses qui vous tiennent à coeur mais que vous ne vous permettez pas.


Commencez doucement en vous fixant de petits objectifs.Vous découvrirez bien vite que le succès appelle le succès. Et votre façon de voir la vie changera aussi. Il en va de l'optimisme comme du reste : l'habitude croît avec l'usage ...

L’influence des anniversaires dans notre vie


Chaque année il revient à la même date, mais plus les années passent, plus notre manière de le vivre et de le fêter change…
Il s’agit de l’anniversaire.
Quand on est enfant, on l’attend avec impatience et c’est un véritable jour de fête, mais quand on passe à l’âge adulte, on évite souvent de le fêter car ça fait prendre un « coup de vieux»…
Petites explications sur ce phénomène.
La place de l’anniversaire dans la vie sociale a une importance capitale pour les jeunes enfants, pour lesquels c’est un moment de joie, de cadeaux, d’attentions mais également un moyen pour eux de prendre des repères temporels et ainsi prendre conscience du temps qui passe.
Pour les ados et les adultes, l’euphorie à tendance à s’atténuer pour diverses raisons.
Du côté des ados, il s’agit souvent d’une période charnière où beaucoup se sentent mal dans leu peau et évitent donc les grandes fêtes, préférant se faire discrets.
La seule grande phase importante est celle des 18 ans qui marque la majorité et donc le passage dans la vie adulte avec les droits et obligations qui vont avec.

Passé la vingtaine, les adultes, et surtout les femmes, fêtent de moins en moins les années qui passent, mettant ainsi de côté la sensation désagréable de vieillir de plus, pour certaines femmes, le fait de dépasser les 30 ans sans avoir encore eu un enfant peut parfois être traumatisant et réactiver le phénomène de l’horloge biologique qui sonne l’alarme.
Les adultes se contentent en général de fêter le cap des dizaines (20, 30, 40, ...) ou parfois des quintaines (25, 35, 45, ...)


Bien sûr il y a des exceptions et beaucoup de personnes apprécient encore fortement de fêter leur anniversaire, souvent surtout pour voir qu’elles comptent aux yeux de leurs proches, renforcer les liens sociaux et familiaux et ainsi ne pas se sentir délaissées dans ce moment parfois mal vécu. Car si l’anniversaire permet de manière générale de passer un bon moment entre amis et avec la famille et de se faire chouchouter, il rappelle également à la personne concernée qu’elle se rapproche inéluctablement tout doucement de la fin de sa vie.

Sur ce sujet comme sur tant d’autres, les femmes et les hommes ne vivent pas ce moment de la même façon. Les femmes vont plus vivre cela du côté émotionnel, sentimental car c’est la date qui rappelle la naissance d’un enfant ce qui réveille l’instinct maternel qui sommeil en chacune d’elle. Les hommes eux, quand ils n’oublient pas les dates d’anniversaire, même parfois la leur, vivent ce moment de manière plus personnelle, presque narcissique.

C’est pour cela, selon Christian Helson auteur du livre "Petite psychologie de l’anniversaire", que les hommes oublient souvent les autres dates anniversaires qui ne les concernent pas eux exclusivement (rencontre, mariage, anniversaire des autres et décès).


Bien entendu, tous les anniversaires ne se fêtent pas de la même manière et surtout ne nécessitent pas forcément une « fête » à proprement parler ou même un cadeau systématique. Même si ce dernier est fortement imposé par la pression sociale (le fait de savoir que l’autre peut attendre un cadeau et le sentiment d’avoir une dette envers la personne qui nous invite pour son anniversaire) et par la société de consommation, il ne faut pas forcément se sentir gêné quand on n’offre pas de cadeau à une personne si l’on a le sentiment qu’on n’arrivera pas a en trouver un qui sera gratifiant et apprécié.

Ainsi, si l’on comprend qu’on peut éviter de vouloir fêter un anniversaire de décès (sujet souvent ambigu), il faut savoir également, que pour diverses raisons, qu’elles soient personnelles, religieuses ou spirituelles, certains personnes ne fêtent jamais leur anniversaire de naissance. Elles se contenteront de fêter éventuellement celui du mariage et ceux des décès.

Par AudreyPublié le 24/10/2008 10:03 Tags : Anniversaire Commenter

dimanche 19 octobre 2008

Les dix commandements du parfait internaute



Tu n'utiliseras point l'ordinateur pour causer un préjudice à autrui
Tu ne t'immisceras point dans le travail informatique d'autrui
Tu ne fouineras point dans les fichiers d'autrui
Tu n'utiliseras point un ordinateur pour voler
Tu n'utiliseras point un ordinateur pour porter un faux témoignage
Tu n'utiliseras ou ne copieras un logiciel que tu n'as point payé
Tu n'utiliseras point les ressources d'autrui sans autorisation
Tu ne voleras pas la propriété intellectuelle d'autrui
Tu réfléchiras aux conséquences de ton programme pour l'humanité
Tu n'utiliseras l'ordinateur qu'avec considération et respect pour autrui


Qu'en penses-tu ?


Vous, vous êtes et nous, nous sommes...


Des Hommes Pareils de Francis Cabrel

Vous, vous êtes et nous, nous sommes

Vous, vous êtes et nous, nous sommes

Des hommes pareils

Plus ou moins nus sous le soleil

Mêmes cœurs entre les mêmes épaules

Qu'est-ce qu'on vous apprend à l'école

Si on y oublie l'essentiel ?

On partage le même royaume

Où vous, vous êtes et nous, nous sommes...


Moi, j'ai des îles, j'ai des lacs

Moi, j'ai trois poissons dans un sac

Moi, je porte un crucifix

Moi, je prie sur un tapis

Moi, je règne et je décide

Moi, j'ai quatre sous de liquide

Moi, je dors sur des bambous

Moi, je suis docteur-marabout


Et nous sommes


Des hommes pareils

Plus ou moins loin du soleil

Blancs, noirs, rouges, jaunes, créoles

Qu'est-ce qu'on vous apprend à l'école

S'il y manque l'essentiel ?

Semblables jusqu'au moindre atome

Vous, vous êtes et nous, nous sommes...


Moi, je me teins et je me farde

Moi, mes chiens montent la garde

Moi, j'ai piégé ma maison

Moi, je vis sous des cartons

Moi, j'ai cent ans dans deux jours

Moi, j'ai jamais fait l'amour

Nous, enfants neveux et nièces

On dort tous dans la même pièce


Quelque soit le prix qu'on se donne

On nage dans le même aquarium

On partage le même royaume

Où vous, vous êtes et nous, nous sommes

Où nous sommes des hommes pareils

Plus ou moins nus sous le soleil

Tous tendus vers l'espoir de vivre


Qu'est-ce qu'on vous apprend dans les livres

S'il y manque l'essentiel...?

S'il y manque l'essentiel...?

J'aime mieux ce monde polychrome

Où vous, vous êtes et nous, nous sommes...

Des hommes pareils...

samedi 18 octobre 2008

Aller à l'école pour être plus heureux ?

Aller à l'école pour être plus heureux? Pourquoi pas ?
Posons-nous la question, même si l'on doute de la réponse.
Voici quelques faits étonnants:
Saviez-vous que ?
  • Plus les gens sont instruits, plus ils sont en santé.



  • Plus les gens sont instruits plus ils s’engagent dans la communauté.



  • Plus les gens sont instruits, plus ils vivent vieux.



  • Plus les gens sont instruits, plus bas est le taux de criminalité
  • Plus une nation est instruite, plus elle est riche.
  • Plus une nation est instruite, moins on y trouve d’inégalités sociales.


Comment en arrive-t-on à autant de bienfaits?

Ma mère m’a toujours dit que le cerveau est comme un muscle, mieux on le nourrit, plus on l’exerce, plus il est efficace. Penser, c’est comme n’importe quoi, ça s’apprend.


L’école nous apprend à réfléchir, à mieux connaître le monde autour de nous, à résoudre des problèmes.

L’école nous aide à prendre de meilleures décisions quand on travaille, quand on se nourrit, quand on élève nos enfants, quand on vote.

L’école transmet les valeurs d’une société.

L’école est aussi une arme qui nous permet de nous défendre contre les charlatans qui veulent nous faire croire (ou nous vendre) n’importe quoi.

C’est un outil pour mieux lire le journal, comprendre les enjeux, défendre nos idées et nos droits.

L’école, c’est un passage qui nous donne accès à tous les chefs d’œuvre de l’humanité: aux grands peintres, aux grands auteurs, aux grands compositeurs.

Juste savoir lire, c’est pouvoir voyager tous les jours… même quand on est trop vieux pour marcher.


Aller à l’école, c’est aussi se donner le moyen de dire je t’aime un peu plus joliment.

Si l’argent ne fait pas le bonheur, l’école fait les deux: argent et bonheur. C’est pour ça qu’il faut y aller… même s’il fait beau!

Aller à l’école??? par Maxime Pedneaud-Jobin mis en ligne le 23 avril 2008

jeudi 16 octobre 2008

Sourire ne coûte rien !



Je sais, ce texte est archi connu. Mais comme il est archi pas mis en pratique, je le diffuse, par acquis de conscience. Et parce que c'est beau un sourire..et que cela donne la vie, chaque jour.

Un sourire ne coûte rien, mais il a une grande valeur.
Il enrichit ceux qui le reçoivent, sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il dure un instant, mais on s’en souvient longtemps.
Personne n’est assez riche pour s’en passer, même les pauvres peuvent le posséder.
Il rend les familles heureuses, les affaires prospères, les amitiés durables.
Un sourire nous repose quand nous sommes fatigués.
Nous encourage quand nous sommes déprimés, nous réconforte quand nous sommes tristes.
Et nous aide à combattre tous nos soucis.
Cependant, il ne peut pas être acheté, emprunté ou volé.
Il a de la valeur seulement quand il est donné.
Si vous rencontrez quelqu’un qui ne vous donne pas le sourire que vous méritez, soyez généreux, donnez-lui le vôtre.
Car personne n’a plus besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.
Auteur Inconnu

mercredi 15 octobre 2008

Dialogue de sourds ?

Choisir quatre images et exopliquer, si selon toi, il y a dialogue ou pas. Et explique pourquoi....

(1)
(2)
(3)
(4)
(5)


(6)


(7)

Exclure c'est se penser supérieur




Pourquoi exclure une personne? D'un groupe, d'une activité, d'une famille, d'une discussion ? Etc...


Depuis des lunes, l’Homme, rejette la différence.


Quelques questions se posent alors :


Pourquoi un individu différent donc «anormal» serait-il exclu d’une société à laquelle il appartient ? La société appartiendrait-elle à une bande de "meilleurs" qui s’arrachent le droit de décider de qui peut et doit s’intégrer et de qui ne le peut pas ?


La société appartiendrait-elle seulement à ceux-ci ?




Ces questions ont malheureusement un sens réel puisqu’il est vérifiable, constatable et indéniable que la société telle qu’elle est actuellement faite ne réserve que très peu de place à ces êtres différents que l’on considère comme à part.


L’infériorité, la supériorité : est-ce définissable ?


Le dictionnaire dit, du moins pour ce qui concerne l’être humain : “ se dit d’une personne (ou de son comportement) qui surpasse les autres par ses connaissances, sa valeur, son mérite et sa force ”.

Où se situe la place de la différence dans cette définition ? Ainsi, l’être différent serait donc inférieur ! Ne sommes tous par définition différents, nous serions tous supérieurs ou inférieurs à tous.
Le sentiment de supériorité d’un homme, d’un peuple ou d’une ethnie vis à vis d’un ou d’une autre est synonyme de danger. L’humiliation, l’asservissement et la destruction sont les moteurs de ces sentiments toujours néfastes générés par ces individus qui sont fiers d'être les modèles d’une société qu’ils ne désirent pas partager.

Ce phénomène n'est pas apparu du jour au lendemain. C’est au fil des générations qu ‘elles ont été transmises et c’est pour cela que ce qui s’en dégage est parfaitement ancré dans son comportement.
Alors quoi faire, pour changer , tout cela ?

lundi 13 octobre 2008

Le mot d'éthicien 1

Bonjour à toutes et à tous !
D'abord, si vous me lisez en ce moment même, c'est que vous êtes une personne responsable et de parole.
Vous savez l'importance de ce blog dans le cours.
Vous vous rappelez qu'il est l'extension du cours, et qu'il est aussi important que le cours lui-même.
Je remercie et vous félicite de votre visite.
Si ce n'est pas la première fois, à cette date; - ce qui est tout à fait normal, en fait. - vous méritez mon respect encore davantage.
Si c'est votre première visite; je vous souhaite la bienvenue et vous invite à y venir plus souvent : car vous ne saviez pas ce que vous manquiez. Il serait dommage de ne le découvrir seulement lors de l'évaluation de fin d'étape. Autrement, certaines questions vont vous sembler sans réponses.
Plus de la motié de mes élèves se sont présenté ici depuis plus d'un mois.
Je ne cache pas ma déception, puisque c'est une obligation de votre part.
Le temps file, et la fin de l'étape est le 7 novembre.

Vous qui y êtes venu, vous qui y êtes en ce moment : j'ai quelques conseils à vous donner.
Après avoir reçu plus d'une centaine de messages, il est temps de faire un petit bilan.

  • Choissisez un article à commenter qui vous intéresse beaucoup et sur lequel vous aurez quelque chose à dire.
  • Lire l'article à commenter plus d'une fois, pour être sûr de le comprendre le mieux possible
  • Dans vos commentaire, faites allusion au texte, citez-le, parlez-en..
  • Venez y faire un tour au moins une fois par cycle de 9 jours.
  • Faites une brouillon ou une copie papier ou word avant..
  • Relisez-vous car certains commentaires contiennent beaucoup de fautes de français ou des erreurs d'inattention.
  • Dans votre commentaire je veux sentir : votre compréhension du texte ou du sujet, vos pour et/ou vos contre avec des arguments, des raisons, des explications, des exemples.
  • Deux à quatre phrases, c'est impossible, à moins de tout dire en peu de mots. Un élève sur 5 y parvient.
  • Je vous suggère au moins 75 mots- après y avoir longuement repensé et contraiment au cinquante mentionnées en classe- .
  • Dans votre commentaire, veuillez d'abord faire une appréciation générale du texte ou du billet : Je suis en accord avec/et ou je suis en désaccord et pourquoi..
  • Et faites référence avec au moins deux points du texte ( exemples d'idée ou de pensée, tirées directement du texte; copier-coller ( avec guillemets) ou résumé pour justifier votre point de vue est fortement recommandée
  • Je réponds à tous les commentaires. Et dans plusieurs cas, je demande des corrections ou une complète reprise. Alors, il faut les lire.
  • Peu d'élèves, commentent les commentaires d'autres élèves. Dommage. L'idée du log, c'est aussi d'échanger entre vous.. même si cela ne compte pas dans le bulletin. Y'a-t-il juste les notes qui vous intéressent à l'école ?
  • Je vous demanderais , à la fin de vos commentaires, d'inscrire votre nom et nom de famille ou bien un nom d'emprunt ( pseudo ) et votre groupe ( Voir votre horaire ) . C'est obligatoire. Autrement, il me sera difficile, voire impossible, de vous identifier pour vous noter dans le bulletin.
  • Le blog compte pour au moins le tiers, de votre note.
  • Tous vos compliments sur ma chienne Coralie me touchet droit au coeur, mais malheureusement, ils n'ont pas de lien avec la matière et ne peuvent compter pour les cinq messages.
  • N'oubliez-pas de venir me voir pour vous identifier, tel que vous le faites dans vos messages.

Si vous voulez que je vous donne des exemples et des explications supplémentaires sur les commentaires que je souhaite recevoir, veuillez me l'exprimer dans un commentaire - hors évaluation - sur le blog.

Je crois en chacun de vous et vous apprécie tels que vous êtes.

Éthicien P.s : Lorsque vous laissez un message, n'oubliez-pas, que vous vous adressez à Éthicien.

dimanche 12 octobre 2008

Si un enfant


Si un enfant vit entouré de critiques,il apprend à blâmer.

Si un enfant vit entouré d’hostilité,il apprend à être agressif.



Si un entant vit entouré de moquerie,il apprend à être timide.

Si un enfant vit entouré de honte,il apprend à se sentir coupable.


Si un enfant vit entouré de tolérance,il apprend à être patient.
Si un enfant vit entouré d’encouragement,il apprend à agir.


Si un enfant vit entouré d’éloges, il apprend à complimenter.

Si un enfant vit entouré de sécurité, il apprend â faire confiance.


Si un enfant vit entouré d’amitié,il apprend à aimer la vie.